La France est le deuxième producteur européen de blé dur. Elle en  exporte 53%, et importe 64 % de sa consommation de pâtes, il n’y a pas un problème ? La logique alimentaire nous perd parfois….

Les matières premières et la traçabilité sont essentielles, les français s’y intéressent de plus en plus. Chez nous c’est simple, c’est directement à la ferme qu’Adrien cultive le blé tendre pour la farine et le blé dur pour les pâtes. C’est avec le projet du moulin qu’il a tenté pour la première fois le semis du sarrasin et du seigle….Verdict dans quelques semaines.

Toutes les graines utilisées dans nos recettes proviennent de la ferme, ça ne peut pas être plus simple et transparent !

Adrien s’évertue à la culture de conservation des sols pour être aligné avec ses croyances, l’environnement, et l’attente des consommateurs. Cette technique vise à protéger et améliorer le milieu vivant du sol (oui au vers de terre !) en limitant le travail du sol, en ayant des couverts végétaux et des rotations culturales longues.

Cela implique un processus long d’expérimentation, et de formations pour faire évoluer ses repères appris à l’école et par ses paires. Encore une fois, tous les ingrédients sont réunis ; l’élevage amène de l’engrais organique  et il prend appui sur les agronomes d’Agroleague.